Déserts de sable, de pierres ou de lave, ils sont par définition les lieux les moins propices à la vie. Les biologistes y cherchent pourtant celle qui a su résister à la pression d'un environnement où tout semble se liguer contre elle.
Les déserts sont en effet des laboratoires où l'on trouve les plus étonnants exploits de l'évolution. C'est aussi pourquoi ils peuvent nous aider à comprendre l'impact des brutalités du climat sur les plantes, les crustacés et certains mammifères comme l'hémione, l'un des derniers ânes sauvages. (sommaire complet ici).
« D’autres m’ont reproché mon langage, qui n’a pas la solennité, disons mieux, la sécheresse académique. Ils craignent qu’une page qui se lit sans fatigue ne soit pas toujours l’expression de la vérité. Si je les en croyais, on n’est profond qu’à la condition d’être obscur.» Jean-Henri Fabre, Souvenirs entomologiques.
lundi 4 mars 2013
Le numéro 7 d'Espèces vient de paraître
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