LA LETTRE CORSE, Février 2011
« D’autres m’ont reproché mon langage, qui n’a pas la solennité, disons mieux, la sécheresse académique. Ils craignent qu’une page qui se lit sans fatigue ne soit pas toujours l’expression de la vérité. Si je les en croyais, on n’est profond qu’à la condition d’être obscur.» Jean-Henri Fabre, Souvenirs entomologiques.
mercredi 16 février 2011
STANTARI et le petit cheval corse...
Libellés :
Revue de presse

Inscription à :
Articles (Atom)